Le problème d’incontinence urinaire affecte une femme sur trois. Cette pathologie est si gênante que peu de personnes osent en parler. Elle peut constituer un véritable handicap, puisqu’elle peut engendrer des fuites urinaires. Heureusement, il existe des solutions pour permettre à ces femmes de profiter d’une vie plus agréable.
Les traitements médicamenteux face à l’incontinence urinaire par l’effort
Soigner un tel problème est du ressort des spécialistes. Il faut, en effet, réaliser quelques examens indispensables pour savoir quel type d’incontinence il s’agit, afin de choisir le bon traitement. S’il s’agit d’une incontinence se présentant après l’effort, le médecin préconisera une rééducation périnéale. Si la pathologie est à un stade plus avancé, une intervention chirurgicale pourrait être considérée. Si cette solution n’est pas efficace, le spécialiste recommandera l’utilisation de changes complets ou de couche anatomique. Pour trouver tout ce dont vous avez besoin, découvrez sur Senup.com Tous les produits d’incontinence à prix réduit. Jusqu’à maintenant, aucun médicament n’est disponible pour soulager ce type d’incontinence urinaire. Vous devez ainsi vous armer de courage et apprendre à vivre avec cela. Sachez toutefois que les chercheurs ne cessent de travailler pour trouver des solutions. La preuve, certains chercheurs ont déjà évoqué quelques inhibiteurs de la recapture de la sérotonine ainsi que des alpha-mimétiques. Si ces solutions ne sont pas encore adoptées, c’est parce que leur efficacité n’était pas assez convaincante. Par ailleurs, des effets secondaires ont été constatés.
Les traitements médicamenteux pour les autres formes d’incontinences urinaires
S’il s’agit d’une incontinence par impériosité, qui se présente comme une envie oppressante d’uriner, et d’une incontinence mixte (par l’effort et par impériosité), il existe quelques traitements médicamenteux assez efficaces. Ceux-ci ont la capacité de bloquer les contractions anarchiques de la vessie. Certains médicaments anti spasmodiques comme les myorelaxants peuvent également aider à la réduction des contractions. Leurs utilisations sont cependant moins connues que les anticholinergiques.