Hypnose pour arrêter de fumer : ça fonctionne vraiment ?

L’hypnose thérapeutique agit directement sur les mécanismes inconscients qui maintiennent la dépendance au tabac. Eh Oui, ça marche : l’hypnose peut avoir un effet immédiat et durable. Cette solution naturelle affiche un taux de réussite de 72 % après un mois de traitement d’après l’association française pour l’étude de l’hypnose.

Efficacité prouvée y compris à distance

L’hypnose est désormais reconnue par un grand nombre de professionnels de la santé pour son efficacité dans le sevrage tabagique, avec un résultat immédiat et qui dure, voire définitif.

Un article paru dans BMC Public Health annonce un taux d’abstinence de 15 à 18 % plus de six mois à compter de la fin de la thérapie. C’est nettement supérieur à celui des méthodes traditionnelles/classiques basées sur la prise de substituts nicotiniques.

L’hypnose agit en modifiant la perception de la cigarette par le fumeur. En clair, elle influence l’inconscient du fumeur pour réduire son envie de fumer. La méthode Switchgood présentée sur https://switchgood.com/ est innovante dans la mesure où l’hypnose se fait à distance. Cette technique révolutionnaire permet d’obtenir des résultats rapides sans avoir besoin de consulter physiquement un hypnothérapeute.

L’envie de changer joue un rôle énorme dans la réussite de la méthode

En clair, la motivation personnelle est primordiale ! La réussite de l’hypnose dépend largement de la volonté préalable du fumeur de changer. L’hypnose renforce cette motivation initiale en travaillant sur les blocages inconscients qui maintiennent la dépendance. Une forte motivation personnelle est donc impérative pour augmenter au maximum l’efficacité de cette méthode. Sans une réelle envie d’arrêter, les effets de l’hypnose peuvent être limités.

Pourquoi choisir l’hypnose plutôt qu’un patch ?

Les substituts nicotiniques, dont les patchs font partie, ne sont vraiment efficaces que lorsque la dépendance psychologique est encore faible. Les gros fumeurs ne peuvent donc pas s’appuyer dessus pour en découdre avec le tabagisme et le vaincre.

Les limites des patchs

Le fonctionnement des patchs nicotiniques consiste en une approche progressive du sevrage : ils diffusent dans le corps une petite dose de nicotine pour réduire progressivement la dépendance physique du patient. Cependant, cette méthode nécessite une gestion minutieuse des dosages et peut entraîner des effets secondaires indésirables. Et puis, puisque la nicotine est toujours là, on peut dire que les patchs maintiennent une forme de dépendance qu’il faut à son tour progressivement réduire.

L’aspect psychologique, primordial dans l’arrêt du tabac, n’est pas suffisamment pris en compte avec ce traitement. Pour que les patchs commencent à être efficaces, il faudrait les associer à des substituts nicotiniques de formes orales.

L’hypnose : Une méthode dépourvue d’effets secondaires

L’hypnose, en revanche, aborde la dépendance de manière générale. Elle traite les aspects psychologiques et comportementaux de l’addiction sans introduire de substances chimiques dans l’organisme. Elle vise à « reprogrammer » les habitudes et les associations mentales liées au tabagisme.

Le fumeur ne perçoit plus la cigarette comme un soutien ni une protection : sa perception de ce produit va changer du tout au tout. Dans le même temps, l’hypnose va défaire les liens physiques et psychologiques qui l’empêchent de se défaire de l’addiction.

C’est, concrètement, une solution naturelle et sans effets secondaires. Mieux encore, l’hypnose aide à gérer avec succès les douleurs liées au sevrage, qui, au demeurant, se manifestent beaucoup moins qu’avec d’autres méthodes. Dans le cas de Switchgood, il y a un travail sur l’état d’esprit du patient : ce dernier est alors libéré de l’emprise du tabac pour toujours.

Quels sont les bienfaits de l’hypnose sur les fumeurs qui souhaitent mettre fin à leur addiction ?

L’hypnose offre de nombreux avantages pour les fumeurs désireux de se libérer de leur dépendance. C’est, comme on l’a vu, parce qu’il traite à la fois les aspects physiques et psychologiques de la dépendance.

Un sevrage en douceur

En modifiant les schémas de pensée associés au tabagisme, l’hypnose peut atténuer les manifestations gênantes du sevrage telles que l’irritabilité, l’anxiété et les fringales. La transition vers une vie sans tabac est donc plus facile. La question ici est de savoir comment l’hypnose agit sur ces symptômes.

Celle-ci induit un état de relaxation profonde et de concentration intense. C’est ce qui permet au thérapeute d’accéder à l’inconscient du patient. C’est là que résident les habitudes et les schémas comportementaux. Dans le cadre du sevrage tabagique, l’hypnothérapeute utilise des suggestions positives pour reprogrammer les associations mentales liées au tabac. Par exemple, il peut associer la cigarette à des sensations désagréables ou renforcer la perception des bienfaits d’une vie sans tabac. Cette reprogrammation aide à réduire l’envie de fumer et à atténuer les symptômes de manque.

Moins de rechutes

En renforçant la motivation et en « reprogrammant » les habitudes, l’hypnose aide à prévenir les rechutes. L’ancien fumeur adopte de nouveaux comportements, sains cette fois-ci. Il est libéré des éléments déclencheurs d’une envie de fumer des cigarettes. Une étude baptisée Hypnosis for smoking cessation : a randomized trial disponible sur le site PubMed de la National Library of Medicine des USA, conclut que l’hypnose combinée à d’autres approches peut atteindre 20 % de réussite après un an.

Quant à l’efficacité de la méthode développée par David Buffault, elle ne fait pas grand doute. C’est qu’elle s’appuie sur son expérience d’accompagnement de milliers de personnes en sevrage tabagique. En plus, la méthode Switchgood propose un remboursement complet si le programme ne fonctionne pas après 21 jours. Là encore, on a la preuve de la confiance de son créateur dans l’efficacité de la thérapie.

Une sensation de bien-être

Au-delà de l’arrêt du tabac, l’hypnose débouche sur une meilleure gestion du stress et des émotions. L’ancien fumeur parvient à gérer stress et anxiété sans recourir à la cigarette. À ce stade, les risques de rechute sont faibles. La qualité de vie globale des individus s’en trouve améliorée. Le bien-être, c’est également l’absence d’énervement : la personne ne ressent plus le désir de fumer, même en présence d’autres fumeurs !

Cette situation aurait engendré une grande frustration s’il n’y a pas eu le volet psychologique de l’hypnose. Mais surtout, l’hypnose renforce la confiance en soi en instillant une détermination intérieure. Une fois le patient en état de transe, le praticien va l’inciter à renforcer sa volonté. Or, il se trouve que cette suggestion finit par s’ancrer profondément chez le patient. Ce dernier va alors résister facilement aux envies futures de fumer.

Fatigué, triste et paresseux

La grande fatigue ainsi que la sensation de manque d’énergie permanente qui ne s’atténue pas, même après un long repos ou une bonne nuit de sommeil, peut être considérée comme un signe révélateur d’un état dépressif. En plus de cela, une personne dépressive ressent une immense tristesse sans raison apparente. De ce fait, elle n’arrive plus à accomplir normalement ses activités quotidiennes et se plaint à longueur de temps.

Trouble du sommeil et de l’appétit

Le sommeil et l’appétit sont les principales activités vitales qui vont être touchées par l’état dépressif. En effet, chez une personne dépressive, la qualité du sommeil peut devenir moins profonde et raccourcie. Il se peut également qu’elle ne veuille rien avaler. Par contre, il existe des dépressifs qui préfèrent dormir et manger pour se réfugier. De ce fait, elles passent la majeure partie de leur temps au lit ou a grignoter toutes sortes de nourriture. Cependant, que ce soit le manque ou l’excès de sommeil et le fait de ne rien ou de trop manger, cela représente un danger pour la santé et permet de reconnaitre une personne dépressive.

Perte de l’estime de soi

Le sentiment de dévalorisation et de culpabilisation caractérise une personne dépressive. Il devient alors difficile de la convaincre qu’il est possible de retrouver la joie de vivre et que les services d’un professionnel comme un psychothérapeute sont indispensables. De plus, le pessimisme est omniprésent dans la vie de l’individu et l’amène à réfléchir de façon toujours négative ou de constamment penser à des idées noires (suicide, homicide, etc.).

L’anxiété et le ralentissement intellectuel

En état de dépression, l’anxiété devient fréquente et touche la personne physiquement et psychologiquement. L’individu malade ressent constamment de la peur, de l’extrême angoisse et un sentiment de confusion avant de prendre une quelconque décision (peur de critique, de se retrouver seul ou de l’abandon). Dans ce cas, toutes ses capacités diminuent (concentration, mémoire, énergie, etc.) et même les activités quotidiennes deviennent difficiles, voire impossibles à achever.

Faire appel à sa mutuelle d’assurance

La perte et la casse de vos lunettes sont les moments où vous devez solliciter votre mutuelle optique. Elle prend justement en charge ce type de problème. Elle s’occupe des frais de renouvellement de verres et des montures si vous vous munissez d’une ordonnance délivrée par un ophtalmologue.
Si vous n’avez pas une mutuelle d’optique, vous devez assumer la charge de remplacement de vos lunettes. Par ailleurs, même si vous demandez un remboursement auprès de la Sécurité sociale, leurs tarifs sont très éloignés de ceux pratiqués par les opticiens. C’est la raison pour laquelle souscrire une assurance optique devient incontournable quand on porte des lunettes. Un contrat d’assurance vous évite ainsi de vous trouver dans une situation d’urgence. Rendez-vous directement vers les comparateurs d’assurances pour déterminer la meilleure mutuelle.

Faire jouer les autres types d’assurances

En fonction de la situation dans laquelle vos lunettes ont été cassées, vous pouvez également faire jouer vos autres contrats d’assurance. Si vous avez une assurance responsabilité civile incluse dans votre assurance habitation, elle couvre tous les membres de votre famille en cas de casse de vos lunettes par une tierce personne. Cette garantie est très profitable pour les moins de 16 ans lorsqu’ils jouent avec d’autres enfants.
Certains opticiens proposent également une garantie contre la casse des verres de vos lunettes au moment de l’achat. La garantie peut aller jusqu’à 3 ans, en fonction de la nature et la cause de la casse. Dans la majorité des cas, elle couvre les petites réparations. Toutefois, elle peut également s’acquitter d’une franchise en cas de remplacement. Les garanties proposées par les opticiens ne couvrent généralement qu’un seul remplacement.
En cas de perte en revanche, il n’y a pas de solution alternative. Ce sont seulement les mutuelles optiques qui proposent de les prendre en charge. Si vous n’avez pas de mutuelle, vous devez alors payer le remplacement de vos lunettes.

Utiliser une attelle après une blessure

Vos articulations et vos muscles sont très sollicités lorsque vous vous entraînez et pratiquez des activités physiques. À cause d’un faux mouvement, une chute, etc., ces parties du corps peuvent être victimes de blessures. Vous pouvez par exemple avoir une entorse ou une inflammation au niveau du poignet suite à un match de basketball. Un professionnel de la santé peut dans ce cas vous recommander de porter une orthèse. C’est une stratégie pour soutenir le poignet grâce à une attelle. C’est également une solution moins invasive vous permettant d’éviter une intervention chirurgicale. En la mettant, vous pouvez toujours effectuer certains mouvements articulaires.

Sachez que ce dispositif contribue à :

• Diminuer les symptômes à l’entraînement.
• Améliorer l’endurance durant une pratique sportive.
• Soigner une atteinte musculaire ou articulaire avec un mécanisme d’adaptation actif.

Attention, il vous faut le bon équipement si vous voulez profiter des bénéfices d’une attelle. En vous rendant chez Decathlon pour acheter une attelle, vous pouvez être certain d’obtenir un produit de qualité. Vous pouvez ainsi continuer de faire de sport et limiter les risques d’aggravation de votre blessure.

Porter une attelle pour prévenir une blessure

Vous pouvez porter des attelles pour prévenir des blessures. Vous avez par exemple besoin de protection pour vos genoux et vos chevilles lorsque vous faites du ski ou du motocross.

En fait, tout pratiquant d’activités extrêmes doit se munir de diverses orthèses pour éviter de se faire mal. Qui plus est, ces dispositifs vous aident à réaliser avec performance vos mouvements. N’oubliez pas seulement de vous renseigner sur le type d’attelle autorisé si vous projetez de concourir à une compétition.

Qu’est-ce que le bain dérivatif ?

Le bain dérivatif consiste à utiliser le froid à des fins thérapeutiques. Plus exactement, cette pratique refroidit la zone basse et étroite du périnée. On le connaissait, à la fin du 19e siècle, sous le nom de  » bain de siège à friction « . Aujourd’hui, il est considéré comme une forme d’hydrothérapie. Il draine le système lymphatique, ce qui permet d’évacuer les toxines qui se sont accumulées dans le corps. La détoxification est donc favorisée par l’augmentation du flux sanguin vers les reins et le côlon, ce qui contribue à renforcer le système immunitaire et à éloigner les problèmes de santé.

Comment pratiquer le bain dérivatif ?

Il est possible de pratiquer le bain dérivatif avec une approche plus moderne. Il suffit d’utiliser des poches de froid et de les appliquer sur le périnée. Ces éléments ont l’avantage d’être utilisables à tout moment. Il est également possible de les transporter partout. Selon les conseils d’Alexi Dupuis, le fondateur du site Réussir mon bain Dérivatif, pour maximiser leurs effets sur le long terme, il est conseillé de réaliser le bain dérivatif avec les poches de froid régulièrement, entre 2 à 3 heures par jour.

Les bienfaits du bain dérivatif

Non seulement le bain dérivatif est bénéfique pour la santé physique, mais en plus, il améliore le bien-être mental. Cette pratique :

• Détoxifie le corps.
• Soulage les douleurs.
• Améliore la digestion et le sommeil.

Il faut aussi noter que le froid a des vertus. Il a notamment des propriétés anti-douleur et anti-inflammatoire. Enfin, l’application des poches de froid sur le périnée favorise la libération des hormones du bien-être.

On parle de quoi en acupuncture ?

La pratique de cette branche de la médecine chinoise permet de rétablir et d’harmoniser la circulation de l’énergie (Qi ou Ch’i) dans tout le corps en stimulant certains points appelés « méridiens énergétiques ». En principe, l’acupuncture vise à combler les insuffisances énergétiques et à gérer la plénitude en même temps. En ce sens, il existe des points spécifiques de tonification et de dispersion qui permettent de rééquilibrer le fonctionnement de chaque organe du corps que l’acupuncture va traiter en plaçant des aiguilles sur des zones du corps bien précises et en fonction du mal-être de la personne à traiter.

Qui peut profiter des bienfaits de l’acupuncture ?

L’acupuncture peut s’adapter à tout le monde, l’âge ne pose aucun problème. Cependant, le fait que les enfants bougent beaucoup et peuvent être hyperactifs, et cela, plus que les adolescents et les adultes durant les séances, rend le traitement classique difficile. Si l’enfant bouge durant la séance de traitement, les aiguilles peuvent le blesser. Si c’est le cas, il faut savoir qu’actuellement, il est possible d’éviter l’utilisation des aiguilles en acupuncture. Les points à traiter peuvent être stimulés de manière électrique. Il faut toutefois noter que cette méthode de soin peut avoir quelques effets secondaires, mais ils ne sont que passagers comme la présence de rougeurs sur la partie traitée, la sensation de fatigue et de malaise ainsi que la perception de chaleur.

Vers qui se tourner ?

Dans toute la France, la loi oblige qu’un acupuncteur soit impérativement un médecin ou une sage-femme ayant suivi une formation professionnelle de 2 à 3 ans ou une étude universitaire spécialisée en acupuncture, dans une faculté de médecine agréée. Tous les professionnels ayant suivi une formation en acupuncture peuvent ensuite, accompagner leur soin avec cette pratique et soigner les dysfonctionnements constatés dans l’organisme que ce soit les allergies, les eczémas, les dépressions, les migraines, les troubles du sommeil, les douleurs inflammatoires articulaires, les problèmes gastriques, les constipations, les incontinences urinaires, les douleurs dentaires, l’arrêt au tabac, le surpoids, etc. Il est bien de savoir que l’acupuncture permet de régulariser et d’améliorer le fonctionnement des organes, sans avoir à consommer de médicaments.

L’isolement social causé par une perte auditive

La perte d’audition a un impact négatif sur la capacité d’une personne à entendre. Elle affecte aussi sa capacité à interagir avec les autres. Résultat, à cause de ses troubles de l’audition, sa vie sociale devient un enfer.

Difficulté de communication

Les troubles auditifs rendent les conversations difficiles, surtout dans des endroits bruyants ou en groupe. Les personnes souffrant d’une perte auditive ont du mal à suivre une conversation. Cela les pousse à demander de répéter, à mal interpréter ce qui est dit. Elles sont hésitantes à participer aux discussions, en particulier lors de réunions.

Frustration et fatigue

Devoir constamment se concentrer pour entendre et comprendre ce que les autres disent peut devenir épuisant. Cela conduit à une diminution de l’envie de participer à des activités sociales.

Perte de confiance en soi

Les personnes atteintes de troubles auditifs craignent de mal comprendre ou de répondre de manière inappropriée. Cette anxiété sociale et cette gêne les dissuadent d’avoir une vie sociale, de peur de se mettre dans des situations embarrassantes.

Stigmatisation et sentiment de honte

Certains individus ressentent une stigmatisation en raison de leur perte auditive, surtout si la déficience n’est pas comprise par leur entourage. Cela peut provoquer un sentiment de honte, incitant les personnes à cacher leur problème plutôt qu’à demander de l’aide.

Réduction progressive des activités sociales

Avec le temps, les personnes malentendantes cessent d’aller à des réunions de famille, des fêtes ou même à des rendez-vous entre amis. Ce retrait progressif de la vie sociale conduit à un sentiment de solitude. Il y a alors augmentation du risque de dépression.

L’intervention des audioprothésistes

Vous vous reconnaissez dans cette situation ? Ne désespérez pas, car des professionnels sont là pour vous aider. Prenez rendez-vous dans un cabinet ORL. Le professionnel de santé évalue la perte auditive et vous préconise des solutions auditives, dont des appareils auditifs. Les aides auditives modernes, comme celles développées par le Laboratoire Bizeau sont efficaces, car elles améliorent considérablement la qualité des sons. On peut même dire qu’en raison de cette efficacité, elles contribuent à briser le cycle de l’isolement. Puisque vous entendez mieux les discussions et les paroles, vous revivez et ressentez de nouveau le désir d’aller vers les autres. C’est en cela que la présence d’un audioprothésiste est intéressante après votre consultation ORL.

L’audioprothésiste vous conseille sur le choix de l’appareil auditif qui répond le mieux à vos besoins. Il existe différents types d’aides auditives :

• contours d’oreilles,
• intra-auriculaires,
• appareils rechargeables,
• etc.

Le rôle de ce spécialiste est de vous orienter vers l’appareil qui correspond quasi exactement à votre mode de vie, votre budget. Une fois le modèle choisi, l’audioprothésiste procède à l’installation et au réglage de l’appareil. Cette étape garantit un fonctionnement optimal de l’appareil et une restitution sonore naturelle. Le but est de vous offrir une excellente qualité auditive et, naturellement, du confort. Le réglage est personnalisé en fonction de vos préférences.

C’est quoi un pharmacien ?

Un pharmacien est une personne ayant effectué des études de pharmacie, c’est donc un spécialiste du médicament. Comme cité précédemment, un pharmacien ne travaille pas seulement dans une pharmacie. Les compétences acquises lors de ses études lui permettent l’accès à un éventail large de secteur d’activité.
Le pharmacien d’officine est celui que nous connaissons tous. Il travaille dans une pharmacie, il délivre les médicaments prescrits par un médecin. Il ne fait pas que délivrer les médicaments, il sert aussi de conseil aux clients.Il a aussi le droit de proposer d’autres médicaments non prescrits par les médecins. À part les conseils et la vente des médicaments, il doit également s’assurer de la comptabilité et de la gestion de ses stocks. Le pharmacien d’hôpital approvisionne en médicament, mais veille également aux suivis des protocoles énoncés par le médecin traitant. Le pharmacien-biologiste travaille dans les laboratoires privés. Pour les laboratoires publics, un concours est à effectuer. Un pharmacien joue aussi le rôle de contrôleur dans les industries pharmaceutiques. Il fera un suivi sur l’élaboration des médicaments. Il a aussi des pharmaciens inspecteurs. Ceux-ci se chargeront d’inspecter les fabricants de médicaments, les grossistes, les officines et les laboratoires. Ils sont recrutés à l’aide de concours et sont au petit nombre.

Les études et formations pour être pharmacien

Les études pour être pharmacien sont toutes aussi longues que celles des médecins. Les études peuvent durer entre 6 et 9 ans. Pour les spécialités officine et industrie c’est 6 ans, et 9 ans pour se spécialiser en pharmacie hospitalière, en biologie médicale, en innovation pharmaceutique ou dans la recherche. Il faut détenir un diplôme d’état de docteur en pharmacie.
La filière pour les études de pharmaceutique est la MMOP ou Médecine, Maïeutique, Odontologie, Pharmacie. Les conditions d’accès sont d’avoir validé 60 crédits, avoir des résultats supérieurs à un seuil minimum, avoir validé les unités d’enseignements de la mineure de santé.
En 2e et 3e année, ce sera le tronc commun + obtention du Diplôme de Formation Générale en Sciences Pharmaceutique ou DFGSP. Ensuite la spécialisation pour la 4e et 5ème année (officine, industrie ou internat) + obtention du Diplôme de Formation Approfondie en Sciences Pharmaceutique ou DFASP. Pour la 6ème année, c’est un cycle court pour les spécialités officine et industrie. Pour l’internat, c’est un cycle long qui dure 4 ans.